De nos jours, nous retrouvons des systèmes de vidéosurveillance un peu partout, dans les endroits publics, dans les centres commerciaux et aussi dans certaines habitations. En réalité, cette initiative est motivée par une question de sécurité. Les particuliers peuvent effectivement opter pour ces dispositifs pour surveiller leur propriété. À part cela, le gouvernement local, comme le cas en France, peut procéder à la mise en place de vidéoprotection dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et la criminalité.
Le concept de la vidéosurveillance
Techniquement, la vidéosurveillance correspond à un système de télésurveillance. C’est-à-dire qu’un dispositif d’appareils est mise en place dans un lieu donné afin que celui puisse être observer en tout temps. Selon les circonstances, il peut s’agir d’endroits publics ou privés. Il existe un centre de contrôle où tous les images et vidéos sont stockés. Ces derniers sont sauvegardés afin de pouvoir être visualisé le moment voulu.
L’objectif principal de la vidéosurveillance est d’assurer la sécurité. Dans ce sens, il constitue un dispositif efficace contre les actes criminels et de terrorisme. En outre, il est aussi utile pour faciliter le contrôle social incluant les accidents, les mouvements de foules, etc. Dans ce contexte d’ordre public, le terme exact est la vidéoprojection.
Aujourd’hui, nous avons essentiellement trois systèmes de vidéosurveillances professionnelles. D’abord, il y a le plus populaire que nous appelons un système numérique. Il offre un accès à distance (sur tablette ou smartphone) pour son utilisateur grâce à Internet. Ensuite, il existe le système standard permettant de visualiser un lieu spécifique. Enfin, nous avons le système avec enregistrement. Avec cet appareil, les images et films des caméras sont enregistrés et utilisables si besoin.
Le fonctionnement d’un système de vidéosurveillance
Pour qu’un système de vidéosurveillance assure son rôle correctement, plusieurs éléments doivent opérer ensemble. Le principe est simple, une ou plusieurs caméras sont installées sur des zones stratégiques. Nécessairement, ce sont des emplacements où les angles de vue sont dégagés afin d’avoir des vidéos et images bien claires. Ces fichiers sont par la suite gardés pour être regardés ou peuvent être supprimés. Pour ce qui est de la sauvegarde des vidéos et images, nous nous servons d’enregistreurs munis de disques durs. Les caméras y sont reliées pour que les données captées puissent être redirigées vers l’espace de stockage. La retransmission peut aussi se faire par un réseau Ethernet, par câble coaxial ou par réseau sans fil. Pour les systèmes de vidéosurveillance professionnelle, il peut y avoir un centre de contrôle où des écrans sont installés. De cet endroit, un opérateur surveillant assure la protection et l’inspection des lieux.
Les caméras de surveillance peuvent prendre différentes formes. Parmi les plus prisées, il existe la caméra analogique. Elle est en mesure de transmettre sans interruption des données vers un centre de stockage. Les utilisateurs quant à eux ont la possibilité d’examiner les images en temps réels. Cela est le cas avec les appareils disposant d’adresse IP et connecté à un réseau. Par ailleurs, nous retrouvons les caméras infrarouges opérationnelles en tout temps (le jour comme la nuit). Et enfin les caméras furtives qui sont assez discrètes.
Les réglementations en vigueur
Pour information, l’utilisation des systèmes de vidéosurveillance est régie par la loi. C’est l’une des plus anciennes dispositions qui se réfère à la loi informatique et liberté. Cet article défend et définit les droits à propos des données personnelles. Il s’agit de la première loi portant le n°78-17 du 06 janvier 1978.
En somme, pour garantir le contrôle et optimiser la sécurité d’un tel ou tel endroit, la vidéosurveillance est l’outil à adopter. Que ce soit dans le secteur privé ou public, l’utilisation de ce dispositif est accessible à tout le monde. Toutefois, il est nécessaire de s’en tenir aux réglementations régissant ce domaine.
